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Et qu’on n’en parle plus

« Un ours. C’est ce que tout le monde pense de moi. Et c’est la vérité.

Si pour ce livre, j’avais préparé un plan, ce que je n’ai pas fait, il y aurait eu quoi ? Ma naissance, l’école, l’armée – je précise l’armée sans guerre – trois mariages, des enfants, mes chansons, mes petits-enfants. Ajoutons comme chez tout le monde les emmerdes administratives et diverses, quelques cuites de célébration, une ou deux aventures extraconjugales, histoire de se vanter un brin et puis finalement quoi ?

Je ne peux m’empêcher de songer qu’à la fin de ce mémoire j’aurai l’âge de mon père lorsqu’il est mort. Mon Dieu, comme je regrette de ne pas l’avoir mieux connu. Ni l’un ni l’autre n’avons su faire le premier pas. Il m’observait, je le sais bien, mais pas un mot. La confidence n’aura jamais été son truc. Il espérait peut-être que je le découvrirais tout seul à un moment précis de ma vie ? J’essaie, papa, j’essaie… »

Ce livre est un événement. Michel Sardou, qui n’avait jamais raconté sa vie, parle pour la première fois. Tour à tour désinvolte, ironique ou rageur, il poursuit dans cette surprenante autobiographie un dialogue énergique – et imaginaire – avec sa mère Jackie.

la presse en parle

“Ne portant aucun masque, il apparaît dans sa vérité, sa liberté et, souvent, sa solitude. La plupart des artistes tirent de leur vie des dissertations pommadées. En râlant, Michel Sardou a tiré de la sienne un livre. C’est l’étage au-dessus.”
Madame Figaro

“Rageuse quand il s’agit de dégommer les bien pensants, affectueuse lorsqu’il s’agit de [son] public, toujours bien pendue, [sa] langue flirte avec celle d’un grand Audiard. […] Chapeau bas.”
ELLE

“L’anticonformiste Michel Sardou se dévoile. Avec des phrases d’écrivain.”
Le Figaro

“Son récit émouvant, trop court, on le dévore. On ne s’attendait pas à une telle pudeur et tant d’autodérision.”
Le Nouvel Observateur

“Magie douce de cette autobiographie d’un genre nouveau. Sans douter le premier livre de l’humanité écrit à quatre mains dont deux, celles de Jackie, reposent depuis longtemps au cimetière.”
Le Point

“Enjoué, enlevé, déluré même, et sacrément bien tourné, voilà le style de Michel Sardou.”
Notre Temps

“Du Sardou pur jus, direct et provocateur.”
La Tribune de Genève

“[Michel Sardou] écrit la prose comme les chansons: en langage parfumé. […] Une autobiographie rare: cash et pudique à la fois.”
Platine

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